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Les blagues du Vendredi, 9 Mai 2014

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Un couple est marié depuis 20 ans.

Chaque fois qu’ils font l’amour, le mari insiste pour qu’ils le fassent dans le noir total.

Après 20 ans, la femme commence à trouver ça ridicule et elle décide donc de casser cette habitude.

Un soir, au beau milieu de leurs ébats, elle allume la lumière.

Elle regarde vers le bas et voit que son mari tient à la main un vibro, doux, merveilleux et plus long qu’un vrai sexe.

 Espèce de salaud !

s’écrie-t-elle.

– Comment as-tu pu me mentir pendant toutes ces années ?

Son mari la regarde droit dans les yeux et lui répond :

OK, je t’explique pour le jouet et tu m’expliques pour les enfants !!!

Un célèbre dissident chinois demande l’asile politique en France.

A son arrivée à Roissy, une meute de reporter l’attend.
– Pourriez-vous nous parler des difficultés de la vie quotidienne en Chine ?
– A vrai dire, honorables journalistes, on ne peut pas se plaindre…
– Qu’en est-il de la liberté de parole et d’opinion ?
– On ne peut pas se plaindre…
– Et le respect des droits de l’homme ?
– On ne peut pas se plaindre non plus…
– Mais alors, dit un journaliste, pourquoi demandez-vous l’asile politique chez nous ?
– Parce qu’en France, on peut se plaindre…

Un homme et sa femme arrivent chez le dentiste.

L’homme dit au dentiste :
« Écoutez, je suis vraiment très pressé. J’ai deux amis dans ma voiture qui nous attendent pour aller jouer au golf. Alors vous oubliez l’anesthésie et vous arrachez juste la dent. Nous avons le parcours pour 10 heures et il est 9h30 je n’ai pas le temps d’attendre que l’anesthésie fasse effet. »

Le dentiste n’en revient pas de voir un homme si courageux. Il lui demande alors qu’elle est la dent à arracher.

L’homme se tourne alors vers sa femme et lui dit :
« Vas y ma chérie, ouvre la bouche et montre au docteur. »

 

Après l’avoir examiné, le docteur dit à son patient alcoolique :

– Monsieur, il faut absolument arrêter de boire. Dites-vous bien que chaque bouteille de whisky que vous absorbez raccourcit votre vie d’un mois.

– Dans ce cas docteur, sachez que l’homme que vous avez devant vous est mort depuis quinze ans…

Un agent de la circulation interpelle un automobiliste qui vient de brûler un feu rouge d’une façon particulièrement déterminée. Le policier ne cherche même pas à entamer le dialogue et déclare:
– Garez votre véhicule sur le côté et suivez-moi au poste tout de suite pour régler cela !

L’homme a beau essayer de s’expliquer, rien n’y fait. Le policier véritablement zélé l’emmène au poste et le jette au fond d’une cellule en précisant:
– Vous allez attendre le chef ici. Ça vous aidera à réfléchir sur le danger que représente votre conduite pour les autres usagers de la route et les piétons !
Et il referme brutalement la porte de la cellule.

Il revient quelques heures plus tard apporter un verre d’eau à l’incarcéré.
– Et encore, précise le policier, malgré votre stupide comportement, vous avez de la chance aujourd’hui. Le chef est au mariage de sa fille. Il sera certainement de bonne humeur quand il rentrera.
Et l’homme répond:
– Pas si sûr, voyez-vous c’est moi le marié !

 

Guy et Denis sont des malades mentaux qui résident dans un hôpital psychiatrique. Un jour Guy longe la piscine. Il tombe à l’eau et coule à pic. Ni une ni deux, Denis saute à l’eau et va chercher Guy au fond. Il le ramène à la surface.

Quand le Directeur apprend l’acte héroïque de Denis, il décide de le laisser sortir immédiatement car il pense que si Denis est capable d’un tel acte il doit être mentalement stable.

Le Directeur va lui-même annoncer cette bonne nouvelle à Denis. Il lui dit :
– J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle à t’apprendre ! La bonne c’est que nous te laissons sortir de l’hôpital parce que tu as été capable d’accomplir un acte de bravoure en sauvant la vie d’une autre personne. Je crois que tu as retrouvé ton équilibre mental.
La mauvaise, c’est que Guy s’est pendu dans la buanderie avec la ceinture de sa robe de chambre !

C’est alors que Denis répond au directeur :
– Mais non ! Il ne s’est pas pendu, c’est moi qui l’ai accroché pour qu’il sèche……

Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère. De ce mariage, est né un fils aux yeux pers*. (*pers = entre vert et bleu). Monsieur est le père, Madame est la mère. Les deux font la paire. Le père, quoique père, est resté Lamère, mais la mère, avant d’être Lamère était Lepère.

Le père est donc le père sans être Lepère, puisqu’il est Lamère et la mère est Lamère, bien que née Lepère. Aucun des deux n’est maire. N’étant ni le maire ni la mère, le père ne commet donc pas d’impair en signant Lamère.

Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire. Il sera le maire Lamère, aux yeux pers, fils de Monsieur Lamère, son père, et de Mademoiselle Lepère, sa mère.

La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd. Aux obsèques, le père de la mère du maire, le grand-père Lepère, vient du bord de mer et marche de pair avec le maire Lamère, son petit-fils. Les amis du maire, venus pour la mère, cherchent les Lamère, ne trouvent que le maire et Lepère, père de la mère du maire, venu de la mer, et chacun s’y perd !

 

C’est une dame qui va à l’hôpital pour la première visite du bébé.
Ce n’est pas la première à devoir passer mais lorsque le médecin arrive, il la regarde étonné et dit:
-Ca m’inquiète et passe une autre patiente avant elle.
Il revient, la regarde à nouveau et dit:
– Ce n’est pas à vous de passer mais tant pis, venez avec moi parce que là vraiment je suis inquiet.
Il lui demande:
-Le bébé est allaité au sein ou au biberon?
La dame de répondre:
-Au sein
Le médecin la fait se déshabiller, lui palpe les seins dans tous les sens et s’exclame:
-Mais madame vous n’avez pas de lait
Et la dame de dire:
– Ah bah j’espère bien je suis la grand-mère! Mais je regrette pas d’être venue!!

Deux homosexuels, Robert et Gérard, voyagent en avion.
Robert dit à Gérard : » j’ai très envie de toi, si l’on faisait l’amour ? »
GÉRARD : « tu es fou, quelqu’un pourrait nous voir »
ROBERT : » mais non tout le monde dort, tu vas voir : « est ce que quelqu’un a un stylo ? s’il vous plaît, est -ce -que quelqu’un a un stylo ?
(pas de réponse) ; tu vois TOUT LE MONDE dort
GÉRARD : bon d’accord
Et ces messieurs font l’amour
Le lendemain, l’avion atterrit . Les passagers descendent de l’avion .
l’hôtesse demande à Gérard et Robert comment s’est passé le voyage. Ceux ci répondent : « c’était formidable »
L’hôtesse pose la même question au passager suivant. Celui ci dit  » mon dieu, j’ai passé un très mauvais voyage, j’ai eu très froid toute la nuit »
L’hôtesse : « mais pourquoi ne pas avoir demandé de couverture ? »
Le passager : « ah non alors ! il y a un type qui a demandé un stylo et il s’est fait sodomiser toute la nuit !!!! »

Philippe rentre du travail et trouve Mathilde nue devant le miroir entrain d’admirer sa poitrine.

– Qu’est-ce qui t’arrive? lui demande Philippe.

– Et bien, je suis allée chez le docteur cet après-midi et il m’a dit que j’avais des seins d’une jeune fille de 18 ans !

– Ah oui ?, ricane Philippe, et qu’est-ce qu’il a dit de ton trou du cul de 40 ans ?

– Rien. On n’a pas parlé de toi.

C‘est un couple d’Américains qui dînent dans un grand restaurant new-yorkais.

Ils en étaient au fromage, quand une splendide brune s’approche de la table et vient rouler une non moins splendide gifle au mari, pour repartir aussitôt.

– Qui c’est !? demande la femme interloquée.

– C’est ma maîtresse, répond calmement le mari.

– Je demande le divorce immédiatement !

– Comment ça… tu veux renoncer à tes manteaux de fourrure, la villa et le yacht à Miami, notre grand appartement et mes millions de dollars ??

La femme ne répond pas et chipotte dans son assiette.

Dix minutes après, on leur apporte le dessert.

– Tu vois, dit le mari, à la table du fond là-bas, Jim Parker avec la blonde… Eh bien c’est sa maîtresse aussi.

La femme regarde un instant et replonge dans son assiette.

– Pff, la nôtre est mieux !…

 

Dans un café, un des consommateurs ressent soudainement l’envie de vidanger sa vessie. Il se rend dans les toilettes et remarque tout de suite un autre gars, un manchot, qui se tient devant les urinoirs d’un air malheureux.

Le consommateur se doute bien du problème qui se pose au manchot, et, bonne âme, il lui propose son aide:

– Vous voudriez peut-être que je vous aide, c’est ça?

– Oh oui, c’est très gentil à vous. Si vous voulez bien me baisser ma braguette…

Une fois sa braguette baissée, le manchot s’avance vers l’urinoir et demande:

– Si vous pouviez encore me la sortir…

Un peu gêné, le consommateur s’exécute.

Il baisse le slip du manchot et en extrait une chose parsemée de boutons et de pustules, d’une couleur intermédiaire entre le marron et le vert, et remplie de croûtes et de poils agglutinés.

Le tout dégageant une odeur de Maroilles du plus bel effet!

Le spectacle atroce et l’odeur pestilentielle poussent le gars à détourner le regard pendant que le manchot satisfait son envie.

Une fois la miction accomplie, le consommateur remet malgré tout la chose purulente en place dans le pantalon, après l’avoir égouttée préalablement, et puis, n’y tenant plus, il demande:

– Mais enfin, qu’est-ce qu’il a votre pénis pour être ravagé à ce point?

Et là, le manchot sort ses bras de sa chemise et répond:

– J’en sais rien, mais en tous cas, moi j’y touche plus depuis un mois!

Lecon de la vie

Durant mon deuxième mois au collège, notre professeur nous a donné un petit examen surprise.

J‘étais un étudiant consciencieux et j’ai répondu aisément à toutes les questions jusqu’à ce que je lise la dernière question :

Quel est le prénom de la femme de ménage de l’école ?

Il s’agissait certainement d’une blague.

Je l’avais rencontrée plusieurs fois.

Elle était grande, cheveux foncés et dans
la cinquantaine, mais comment j’aurais pu savoir son nom ?

J‘ai remis mon examen en laissant la dernière question sans réponse.

Juste avant la fin du cours, un étudiant a demandé si la dernière question comptait pour la note de l’examen.

 » Absolument  » a répondu le professeur. « 

Durant vos carrières, vous allez rencontrer beaucoup de gens.

Ils sont tous importants. Ils méritent tous votre attention et vos soins, même s’il s’agit simplement
d’un sourire et d’un bonjour. »

Je n’ai jamais oublié cette leçon.

J‘ai aussi appris qu’elle s’appelait Dorothée

 

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