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11 façons de se faire révoquer à cause de Facebook

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Méfiez-vous de ce que vous partagez sur Facebook: rendre public vos états d’âme peut se retourner contre vous. Voici 11 façons de perdre son emploi à cause des réseaux sociaux.
A Louvain, un employé a récemment été renvoyé après avoir critiqué la politique de son entreprise sur Facebook. Prudence donc! Le fait d’insulter son patron est bien sûr considéré comme un motif grave de licenciement. Mais qu’en est-il de Facebook? Certaines affaires ont été portées devant lestribunaux. Verdict: la justice n’estime pas que s’exprimer sur Facebook constitue une sphère privée, et donne donc raison aux employeurs. Voici 11 histoires d’employés qui en ont fait les frais.

1. Critiquer votre employeur

L’exemple le plus célèbre est celui de 13 membres du personnel de cabine de Virgin Atlantic, licenciés après avoir critiqué leur compagnie aérienne sur Facebook. « Critiquer l’organisation qui paie son salaire n’est pas acceptable« , a argumenté le porte-parole de la société. Des collègues de British Airways ont également fait les frais de leurs propos sur Facebook. Après avoir critiqué leurs supérieurs, ils ont été priés de quitter l’entreprise sur-le-champ…

2. Dire combien votre job est ennuyeux

Une employée administrative britannique fut remerciée après avoir raconté combien elle trouvait son emploi ennuyeux. Sentence immédiate : »Suite aux commentaires que vous avez publiés concernant votre travail et votre employeur, il nous paraît indiqué de mettre fin à votre contrat auprès de Ivell Marketing & Logistics immédiatement. Vous n’êtes apparemment pas épanouie dans votre travail« , indique la lettre de licenciement. La jeune femme s’est dite choquée par l’ampleur prise par l’affaire. « Je n’ai même pas mentionné le nom de l’entreprise, j’ai seulement dit que mon job me paraissait ennuyeux. Ils se mêlent de ce qui ne les regarde pas, je trouve que c’est lamentable », a-t-elle réagi.

3. Etre actif durant un congé maladie

Trop malade pour aller travailler, donc trop malade(call in sick) pour être derrière son ordinateur. C’est du moins le raisonnement de l’assureur National Suisse. Au point de licencier une employée qui mettait son profil Facebook à jour durant son absence-maladie. Elle avait expliqué à son employeur que ses migraines lui imposaient le repos dans une chambre obscure… Un collègue fit remarquer l’activité sur Facebook pendant son absence : l’employée en question mettait à jour son profil depuis un iPhone.

4. Choisir les mauvais amis

Un gardien de prison britannique fut remercié lorsque son employeur découvrit par Facebook qu’il s’était lié d’amitié avec certains détenus. L’homme de 27 ans travaillait dans une prison de Leicester et entretenait, en dehors de ses heures de travail, des contacts avec des prisonniers et ex-prisonniers. Inacceptable aux yeux de la direction qui a laissé entendre qu’elle prenait « très au sérieux les relations entre les gardiens et les détenus ».
Un cas comparable s’est produit récemment en Belgique. Une des enseignantes d’une école primaire à Hoeleden se vit refuser le renouvellement, pourtant préalablement convenu, de son contrat de travail. D’après l’enseignante en question, son amitié sur Netlog avec 12 de ses élèves serait à la base de son remerciement..

5. Evacuer la pression

Un professeur de sociologie à l’université en Pennsylvanie avait l’habitude de mettre des commentaires sarcastiques d’un gout plutôt douteux sur sa page de profil. « Quelqu’un sait où je peux trouver un tueur à gages? Oui, la journée a été difficile. » ou, un mois plus tard, « A passé une bonne journée, n’a PAS eu envie de tuer le moindre étudiant aujourd’hui.” Une fois avertie de ces remarques, l’université, alarmée après les événements tragiques qui se sont déroulés dans plusieurs écoles ces dernières années, a préféré donné au prof un congé sabbatique d’une durée indéterminée, avant de l’autoriser à revenir enseigner un mois plus tard.

6. Dévoiler des informations sensibles

Un agent de police d’Atlanta a été licencié après avoir posté des informations sensibles sur son boulot sur Facebook. Parmi les renseignements dévoilés, son travail sur une opération du FBI dans une affaire de drogue, ses horaires de travail en flic en civil. Sans compter qu’il parlait aussi ouvertement de sa frustration au travail. Le département de la police d’Atlanta l’a donc remercié.

7. Diffuser des photos confidentielles

Les photos des victimes de meurtres ne sont pas censées être révélées au grand public. C’est pourtant ce qu’a choisi de faire un technicien médical new-yorkais. Il a posté sur Facebook des photos d’une victime étranglée avec un cordon de sèche-cheveux. Il a évidemment perdu son emploi.

8. Vider son sac

Un employé du stade des Philadelphia Eagles, une équipe de football américain, a fait part de son mécontentement quant à la décision de la National Football League de laisser Brian Dawkins, l’un des joueurs des Eagles, signer avec une équipe de Denver. « Je suis dévasté que Dawkins parte à Denver… Les Eagles sont des idiots!! » a-t-il écrit sur Facebook. Il a ensuite effacé le commentaire, mais il était trop tard: les Eagles l’ont licencié par téléphone quelques jours plus tard.

9. Faire des commentaires racistes

Treize infirmières urgentistes ont été licenciées d’un hôpital en Pennsylvanie après avoir participé à un chat raciste et plutôt enflammé sur Facebook. Plusieurs des infirmières réclament des indemnités de licenciement. L’affaire est toujours en cours au tribunal.

10. Montrer le mauvais exemple

Une institutrice américaine a publié des photos d’elle en train de boire pendant un voyage en Europe, assorties de quelques commentaires plutôt piquants. Le directeur de l’école a estimé que ce n’était pas l’exemple qu’elle devait donner et lui a demandé de démissionner. L’institutrice a porté l’affaire devant le tribunal et est toujours en attente de jugement.

11. Insulter son patron

Au Royaume-Uni, une employée a écrit sur son profil: “Mon patron est un pervers”.  Dommage pour elle, le “pervers” était l’un de ses amis sur Facebook. Sa réponse au commentaire publié: « Ce n’est pas la peine de revenir demain. »
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