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© ap.
Devant les représentants des 180 pays accrédités auprès du Saint-Siège, François n’a pas évoqué les crises internationales ou un problème en particulier. Mais il a indiqué sa priorité : Il faut « lutter contre la pauvreté soit matérielle, soit spirituelle », a-t-il insisté, se référant à nouveau à Saint-François d’Assise.
« Il y a encore tant de pauvres dans le monde, et ces personnes rencontrent tant de souffrances », a-t-il dit, en demandant aux Etats de reconnaître « l’oeuvre généreuse des chrétiens » qui sont engagés dans le monde pour alléger ces souffrances.
Mais il a aussitôt ajouté: « il y a aussi une autre pauvreté: c’est la pauvreté spirituelle de nos jours, qui concerne gravement aussi les pays considérés comme plus riches ». « C’est ce que mon prédécesseur, le cher et vénéré Benoît XVI, appelle la dictature du relativisme qui laisse chacun comme mesure de lui-même et met en péril la convivialité entre les hommes », a-t-il estimé.
Le pape François a affirmé par ailleurs vouloir « intensifier le dialogue avec l’islam » et les non-croyants et « construire des ponts », en soulignant le sens du terme « pontife », « constructeur de ponts avec Dieu et entre les hommes ».