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© getty.
Les programmes d’énergies renouvelables de M. Obama « ont aidé à créer des emplois aux Etats-Unis, pas à l’étranger », assure cette vidéo, en basculant sur le bilan de Mitt Romney.
« En tant que PDG d’entreprise, il a délocalisé des emplois américains dans des pays comme le Mexique et la Chine. En tant que gouverneur, il a supprimé des postes de fonctionnaires au profit de centres d’appel en Inde. Il souhaite toujours que des entreprises délocalisant à l’étranger bénéficient de réductions d’impôts », affirme cette publicité.
Mais « c’était à attendre de la part d’un type qui avait un compte en banque en Suisse », conclut cette vidéo.
Sous pression de ses rivaux, M. Romney, un ancien entrepreneur de capital-risque dont la fortune est estimée entre 190 et 250 millions de dollars, avait divulgué le 24 janvier ses feuilles d’impôt pour les deux années précédentes.
Il avait reconnu n’être assujetti qu’à un taux moyen d’imposition de 15% environ malgré des revenus annuels de plus de 20 millions de dollars. Son adversaire démocrate et ses concurrents à la primaire républicaine avaient en particulier noté que l’épouse de M. Romney, Ann, avait été titulaire jusqu’en 2010 d’un compte en Suisse crédité de trois millions de dollars, fermé depuis.
L’équipe du candidat républicain avait assuré qu’il n’y avait rien d’inhabituel ni d’illégal dans ce compte, dûment déclaré au fisc américain. Mais ces informations avaient donné du grain à moudre à la campagne démocrate au moment où M. Obama se faisait l’avocat d’un rééquilibrage de la fiscalité entre les revenus du capital et ceux du travail.