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Sur l’ensemble des dossiers de candidature envoyés, « toutes les candidates ont indiqué qu’elles étaient mariées, dont une sur deux avec une femme », explique Stijn Baert. « De cette manière, nous pouvions repérer les éventuels traitements discriminatoires sur base de l’orientation sexuelle ».
Le chercheur a également réparti les candidates dans quatre catégories: (1) femmes âgées de 25 ans avec un enfant, (2) femmes de 25 ans sans enfant, (3) femmes de 37 ans avec un enfant, et (4) femmes de 37 ans sans enfant. « Ces catégories ont permis de déceler les traitements discriminatoires sur base de l’âge et la maternité », ajoute Stijn Baert.
Selon le doctorant, la forme de discrimination la plus significative pratiquée par les recruteurs est liée à l’âge. « Les lesbiennes ont, à 25 ans, 25% de chances en plus de décrocher un entretien d’embauche après avoir envoyé une lettre de motivation en réponse à une offre d’emploi. Les jeunes lesbiennes avec un enfant ont même 33% de chances en plus d’obtenir une interview que leurs semblables hétérosexuelles avec un enfant », expose-t-il. « Au delà de 25 ans, en revanche, il n’y a plus de discrimination ».
Ces observations confortent les théories économiques de la discrimination, selon lesquelles, d’une part, les gens préfèrent généralement travailler avec des personnes appartenant à une minorité sexuelle. Et d’autre part, les recruteurs pensent, consciemment ou pas, que les lesbiennes tombent moins souvent enceintes que les femmes hétérosexuelles, prennent moins de congés de maternité et répartissent les tâches relatives à l’éducation des enfants de manière plus équilibrée que dans un couple hétérosexuel.
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Une trentaine de policiers, soldats et secouristes ont réussi à rejoindre les hommes apeurés et déshydratés, au milieu d’une des jungles les plus denses de l’île indonésienne de Sumatra (nord-ouest), qui abrite les rares tigres et éléphants encore à l’état sauvage en Indonésie.
Les tigres étaient encore au pied de l’arbre quand les sauveteurs sont arrivés, empêchant ses occupants terrifiés de descendre.
Les dresseurs ont incanté des mantras
Les secouristes « sont restés à l’écart » et ont laissé oeuvrer des dresseurs d’animaux qui ont réussi à calmer les tigres, a expliqué Dicky Sondani, chef de la police locale. « Les dresseurs ont pu s’approcher des animaux en incantant des mantras », a-t-il expliqué. « Les tigres ont fini par s’en aller ».
Une vaste opération de secours avait été lancée après les appels de détresse lancés par les cinq hommes perchés sur leur arbre. Les Indonésiens s’étaient enfoncés la semaine dernière dans la jungle du Parc National Leuser, dans le nord de Sumatra, afin de trouver une espèce de bois rare et très précieux.
A la recherche de nourriture, les hommes avaient posé des pièges à biches et antilopes mais un bébé tigre s’y est laissé prendre, trouvant la mort et provoquant la colère de sa meute qui s’est attaquée aux hommes.
L’une des espèces les plus menacées au monde
Selon les défenseurs des animaux, ce nouveau drame n’est que le dernier exemple de la multiplication des confrontations entre êtres humains et animaux sauvages, rendue inévitable par la destruction de leur habitat.
Les tigres de Sumatra comptent parmi les espèces les plus menacées au monde. Seuls 400 à 500 vivraient encore à l’état sauvage. Le Parc national Leuser, où s’est passé le drame, est lui-même sous la menace d’une projet controversé de déforestation.
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Un touriste allemand de 51 ans se souviendra certainement toujours de ses vacances à Ibiza. En voulant s’offrir un moment de détente en solo, l’homme s’est coincé le pénis dans un sextoy (un anneau en acier de 15 centimètres). Les urgentistes contactés ne sont pas parvenus à libérer son pénis et ses testicules pris au piège. Ils ont alors fait appel aux pompiers espagnols, rapporte El Diario de Mallorca.
Ces derniers, munis de scies circulaires, ont tenté de retirer l’objet. Ils leur a fallu deux heures et une seconde lame pour en venir à bout. La procédure a été décrite comme « complexe ». Il a fallu faire attention aux étincelles lors de la manoeuvre. De plus, le pénis coincé a fini par enfler. Une anesthésie locale a été administrée au touriste honteux. « Nous avions le temps mais nous devions tout de même faire en sorte d’agir vite en raison d’un risque de nécrose », a expliqué un homme du feu au journal local.
Libéré après deux heures d’acharnement, l’homme s’en est tiré sans « aucune égratignure ». Après un moment d’observation médicale, l’homme a pu rejoindre son hôtel.
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« A. était recherché depuis plusieurs années pour non-paiement de la pension alimentaire de sa fille. Lorsque des huissiers de la région de Vyborg (près de Saint-Pétersbourg) l’ont retrouvé, il a expliqué qu’il avait été opéré pour changer du sexe et qu’il n’avait pas ‘la possibilité physique de payer la pension alimentaire' », a raconté le service de presse du département.
Un peu plus tard, A. a présenté des certificats médicaux et des explications écrites, signées de son nouveau prénom féminin, Aliona, selon cette même source.
Pour obtenir le paiement de la pension, le service fédéral des huissiers doit attendre la modification de l’état civil de cette personne, a-t-il été indiqué.
Cette vidéo a été filmée par des caméras de surveillance d’un hôpital en Russie. On voit très clairement le médecin anesthésiste Andrew Votyakova frapper au visage puis à la poitrine un patient allongé sur son lit d’hôpital alors qu’il venait de subir une lourde opération chirurgicale. L’homme est décédé quelques heures plus tard, apparement pas de ces coups. Le médecin a déclaré que les coups infligés dans la poitrine du patient ne sont pas la cause de son décès et dit qu’il est « vraiment désolé de l’incident et tient à s’excuser auprès de ses proches » . Le médecin a depuis été renvoyé.
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https://www.youtube.com/watch?v=mzjGeDQQtsA
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