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© afp.
Torres, l’homme providentiel
Contrairement au premier match contre l’Italie, Vincente Del Bosque avait choisi de titulariser Fernando Torres à la pointe de l’attaque espagnole contre l’Irlande. Un choix payant du sélectionneur espagnol,critique par Jose Mourinho,notamment sur le fait que la Roja avait evolue sans No 9 contre la Squadra Azzura. En choisissant Torres au détriment de Fabregas, Del Bosque a permis à l’attaquant de Chelsea de se refaire une santé en équipe nationale espagnole et de certainement (re)prendre confiance. Avec ses deux buts, Torres postule même au titre de meilleur buteur de la compétition.
L’Espagne, une machine huilée
Si la machine espagnole semblait quelque peu en manque de rythme contre l’Italie, le match face à l’Irlande – sans doute une des équipes les plus faibles de l’Euro – a rassuré les supporters de la Roja quant au niveau de forme des tenants du titre. L’Espagne n’a pas laissé l’ombre d’une chance à l’Irlande. Les Silva, Iniesta et Xavi sont bel et bien au rendez-vous de cet Euro. Et si Torres confirme contre la Croatie qu’il est le N°9 attitré de cette équipe, il n’y aura pas beaucoup d’équipes qui pourront arrêter la Roja.
L’Irlande, première éliminée
Avec deux défaites en deux matches, l’Irlande peut déjà faire ses valises de l’Euro. Les Irlandais sont les premiers éliminés de la compétition. Pas un hasard au vu de la faiblesse affichée par la défense irlandaise, qui a encaissé sept buts en deux matches, pour un seul but marqué. Éliminée, l’Irlande se doit néanmoins de jouer son rôle d’arbitre jusqu’au bout puisque le dernier match face à l’Italie sera déterminant dans l’optique des 1/4 de finale. Italie-Irlande (lundi à 20h45), ce sera aussi les retrouvailles entre la sélection italienne et Giovanni Trappatoni, qui avait entraîné la Squadra entre 2000 et 2004. L’occasion pour le sélectionneur italien de prendre congé de l’équipe nationale irlandaise en beauté.