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© afp.
« Je suis prêt à témoigner dans le cadre d’un comité international comprenant des experts en médecine et des juristes », a ajouté ce médecin, le seul d’une équipe tunisienne à avoir accompagné Yasser Arafat de sa Mouqataa, à Ramallah, jusqu’à sa mort dans l’hôpital parisien de Percy.
Arguant du « secret professionnel et de la déontologie médicale », il a refusé de confirmer ou d’infirmer la thèse d’un assassinat ou de commenter les résultats d’un laboratoire suisse sur la « présence anormale » de polonium sur des effets personnels d’Arafat.
« Je ne peux commenter ces résultats, ni les soupçons d’assassinat, cela reviendrait à porter une accusation de meurtre contre une partie tierce. Et ce n’est pas mon rôle », a ajouté le médecin, également chef de l’Institut public de neurologie de Tunis.
« Je ne pourrai le faire que dans un cadre judiciaire et d’une enquête sérieuse, qui analyse tous les détails du dossier médical » d’Arafat, a-t-il insisté. Le rapport médical français publié après le décès de Yasser Arafat affirmait que « la cause (de se mort) est inconnue », a-t-il rappelé.