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© reuters.
L’ancien candidat à la présidentielle Mitt Romney, ancien gouverneur du Massachusetts (2003-2007) était également présent.
Les enquêteurs n’ont pas communiqué depuis mardi, mais l’enquête semble progresser sensiblement. « Nous avons l’image d’une personne dont nous pensons que c’est un suspect », avait déclaré mercredi à l’AFP une source judiciaire, ajoutant cependant qu’elle n’était pas « clairement identifiée ».
Plusieurs médias américains, dont le Boston Globe, évoquent désormais deux hommes, repérés sur les images de caméras de surveillance, et qui portaient chacun un sac noir près du lieu des deux explosions quasi-simultanées qui ont eu lieu, à environ 100 mètres l’une de l’autre, près de la ligne d’arrivée du marathon lundi.
La chaîne de télévision CBS affirme que l’un d’eux parlait sur son téléphone portable après avoir déposé son sac, et que les enquêteurs ont pu identifier le téléphone et retrouver le nom qui y est associé. Sans que l’on sache si c’est l’homme qui l’utilisait.
Le New York Post diffusait également jeudi trois photos de deux hommes dont l’un porte un sac à dos noir, et l’autre un gros sac de sport bleu, et qui selon le quotidien ont été envoyées en interne aux services de police, à des fins d’identification.
Mais ils ne semblent pas correspondre aux suspects évoqués par le Boston Globe, qui parle de deux « suspects vus séparément sur des bandes vidéo, chacun sur le lieu d’une explosion ». Le quotidien affirme que les enquêteurs ont l’intention de diffuser les images dans la journée, pour obtenir l’aide du public.
Mais dans Boston très nerveuse, où des fausses alertes ont conduit mercredi à évacuer plusieurs bâtiments dont le tribunal fédéral, les enquêteurs n’ont encore arrêté personne.
« En dépit des informations disant l’inverse, il n’y a pas eu d’arrestation », avaient annoncé mercredi la police de Boston et le FBI, ce dernier soulignant la nécessité pour la presse d’être prudente en raison des « conséquences non intentionnelles » que peuvent avoir des « informations inexactes ».
Les enquêteurs travaillent « de manière très méthodique, très rigoureuse », avait souligné mercredi soir le gouverneur du Massachusetts Deval Patrick. « Cela va être lent », a-t-il ajouté, appelant les Américains à la patience.
Trois jours après le plus grave attentat commis aux Etats-Unis depuis le 11-Septembre, les enquêteurs n’ont encore ni motif, ni revendication, et aucune hypothèse n’est privilégiée, entre terrorisme international ou intérieur.
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