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Ernso Dormevil, 48 ans, est le nom d’un individu surpris ce jeudi 10 octobre 2013 en ébats sexuels avec une adolescente de 14 ans-élève d’un lycée de la capitale- dans son véhicule sur la route de Bourdon non loin du réservoir de la DINEPA.
Détournement des mineurs et atteinte à la pudeur sont les principaux chefs d’accusation retenus contre l’auteur de cet acte scandaleux. Il répond actuellement aux questions de la justice. L’information a été confirmée par le commissaire du gouvernement de Port-au-Prince, Me Francisco René.
Me Néhémie Joseph réprouve le renvoi de 14 employés du CTCEP
Le conseiller électoral Néhémie Joseph dénonce la révocation de plusieurs cadres du Collège transitoire du conseil électoral permanent par le président de l’institution. Il s’agit, dit le représentant du Parlement au CTCEP, d’une décision arbitraire et unilatérale de la part d’Emmanuel Ménard. Selon l’ancien bâtonnier des Gonaïves le limogeage de ces 14 employés reste injustifié. Il aurait été fondé s’il y avait eu des contraintes budgétaires, a martelé Me Néhémie Joseph, alors que pour lui, cela est loin d’être le cas.
Cette décision a-t-elle a été prise sur la base d’une évaluation des travaux des employés renvoyés, s’interroge Me Joseph. Ce dernier dit être consterné par la mise à l’écart de ces cadres dont des directeurs et des chefs de service travaillant depuis 14 ans, 10 ans, 9 ans et 5 ans au sein de l’organe électoral. L’ancien représentant des fédérations des barreaux d’Haïti au Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ) estime que les motifs avancés par le numéro un du conseil électoral sont loin d’être convaincants. Les agissements de monsieur Ménard fragilisent de plus en plus l’Administration publique, indique Néhénie Joseph, concluant que plusieurs autres conseillers condamnent eux aussi avec véhémence le renvoi des cadres. Magalie Racine appelle les parents à s’impliquer davantage dans l’éducation de leurs enfants
Le ministre de la Jeunesse, des Sports et de l’Action Civique, Mme Magalie Adolphe Racine a participé le vendredi 11 octobre 2013 aux activités marquant la célébration de la 2ème Journée Internationale de la Fille déroulée au Centre Polyvalent de Formation de la Croix-des-Bouquets.
Selon un communiqué du ministère, plus de Trois Cents (300) filles provenant de divers établissements scolaires de la Croix-des-Bouquets ont assisté aux activités précédées d’une marche pacifique organisées par Plan Haïti en la circonstance. A travers chants, textes, poèmes, sketchs, les filles ont réclamé le respect de leurs droits et ont invité les autorités à se pencher sur leurs situations. Par ailleurs, lors de leurs différentes interventions,les représentants des organisations féminines et de jeunesse ont évoqué une amélioration durable des conditions de vie des filles, la sensibilisation sur leur situation et leur intégration dans la vie de la société. Le ministre Racine, poursuit le communiqué du ministère, heureuse d’accueillir au MJSAC les activités de la Journée, a mis l’accent sur l’importance de cette célébration qui met en valeur les filles et leur place dans la société tout en félicitant Plan Haïti pour son engagement en faveur des filles de notre pays. Madame Racine a, en outre, insisté sur l’ambiance dans les familles qui doit favoriser l’éclosion de femmes et citoyennes valables prêtes à servir leur pays avant de promettre de continuer à appuyer et à encadrer les filles d’Haïti. Elle n’a pas manqué de souligner le rôle important des parents dans l’éducation de leurs enfants qui doivent les considérer comme leurs modèles. La présence du ministre de la Jeunesse, des Sports et de l’Action Civique, Madame Magalie Adolphe Racine à cette cérémonie exprime sa détermination d’accompagner la jeunesse haïtienne en général et son engagement dans la lutte en faveur d’une éducation de qualitédes filles dans un environnement sain et sans violence, conclut le communiqué. Le gouvernement propose de nouvelles législations pour le secteur touristique
Le gouvernement veut se doter de nouveaux outils pour favoriser le développement du secteur touristique, considéré comme prioritaire. 4 avant-projets, adoptés le mercredi 9 octobre par le Conseil des ministres, devront être prochainement soumis à l’approbation des parlementaires.
La ministre du Tourisme, Stephanie Balmir Villedrouin, a obtenu le feu vert du gouvernement pour lancer le processus de réaménagement des structures organisationnelles de son ministère. L’objectif de cet avant projet de loi est de définir les conditions propres à garantir à l’institution un fonctionnement permettant d’inscrire l’action du Ministère dans la durée. Dans le même temps le gouvernement veut remplacer l’école Hôtelière d’Haïti par l’Institut National de Formation en Hôtellerie et Tourisme (INFORHT). La ministre du tourisme justifie cette décision par la nécessité d’adopter des dispositions pour permettre à l’industrie touristique de se développer dans des conditions optimales. L’Etat veut doter l’industrie touristique d’un personnel qualifié et spécialisé ayant reçu une formation professionnelle adéquate. Le Conseil des ministres a également adopté un avant projet de loi sur le Statut juridique des agences de voyage. Les différentes catégories d’agents de Voyages, qui jouent un rôle prépondérant dans l’industrie des voyages et du Tourisme, ne sont pas réglementées conformément à l’évolution de ce secteur, selon la ministre du tourisme. Une révision du statut des agents de voyage est nécessaire en raison des grandes attentes sur la réglementation et la modernisation des différentes activités des agences de voyages. Par ailleurs, le gouvernement veut redynamiser le Conseil National du Tourisme (CNT). Un avant projet de loi adopté par le Conseil des ministres fixe les modalités de fonctionnement et les attributions de cet organe consultatif regroupant les représentants des différents organismes, organisations et associations intervenant dans le secteur. Expulsions illégales : la République dominicaine sur le banc des accusés
« Je leur ai dit: écoutez-moi, je ne suis pas Haïtien, je suis Dominicain; pourquoi voulez-vous me rapatrier, moi? La seule Haïtienne dans la maison est mon épouse. Mais ils s’en fichaient. Tu as la peau noire, tu es Haïtien aussi ».
Ce témoignage de William Medina Ferreras a été un des moments forts de l’examen, par la Cour interaméricaine des droits de l’homme (CIDH) du dossier des 27 personnes expulsées de République dominicaine vers Haïti pour motifs raciaux entre 1994 et 2000. William Medina Ferreras est du nombre des 22 personnes de nationalité dominicaine expulsées au cours de la période évoquée. « Certains d’entre eux avaient des papiers prouvant leur condition (de Dominicains), mais ils n’eurent pas l’occasion de les présenter », a indiqué Felipe Gonzalez Morales, représentant de la Cour. Il a par ailleurs expliqué devant la Cour siégeant au Mexique que « pour ceux qui parvinrent à les présenter, leurs papiers furent détruits au moment de leur arrestation ». Toutes les victimes « furent déportées arbitrairement dans le cadre d’une politique migratoire fonctionnant de facto et qui se basait, non pas sur des critères objectifs, mais sur le profil racial des personnes », a soutenu Gonzalez. La Cour interaméricaine des droits de l’homme a entamé mardi à Mexico l’examen de la plainte en recours collectif déposée par les avocats de ces 27 personnes de nationalité haïtienne et dominicaine, dont 17 mineurs. Intensification de la coopération agricole entre Haïti et le Venezuela
Le ministre haïtien de l’agriculture, agronome, Thomas Jacques, annonce que le gouvernement vénézuélien apportera une aide significative pour relancer la production agricole nationale. Lors de sa récente visite au Venezuela, le ministre de l’agriculture a obtenu le feu vert des autorités vénézuéliennes pour la réalisation de 4 projets indispensables pour l’augmentation de l’offre alimentaire.
Le gouvernement de Nicolas Maduro s’est engagé à financer un projet de reforestation de 3 000 hectares de terre et la production d’intrant animal. Les autorités haïtiennes envisagent d’utiliser le Moringa et la patate douce afin de produire les aliments pour le bétail ce qui devrait faciliter le développement du secteur de l’élevage. L’utilisation de ces produits locaux permettra de réduire les coûts d’exploitation pour les éleveurs de poule, de porcs et de poissons. Dans le même temps le ministère de l’agriculture a sollicité l’appui du Venezuela pour l’intensification de l’agriculture dans la vallée de l’artibonite. Le gouvernement est intéressé à financer la deuxième phase de ce projet indispensable pour augmenter la production de riz dans cette région. 10 unités de décorticage de riz ont été implantées dans la vallée de l’artibonite lors de la première phase du programme. Par ailleurs le Venezuela devrait également financer un projet d’irrigation dans plusieurs villes du Haut Plateau Central dont Maïssade et Thomonde. 10 000 hectares de terres pourraient être irrigués si les autorités vénézuéliennes octroient les 19 millions de dollars nécessaires à la réalisation du projet. L’agronome Thomas est confiant que le ministre vénézuélien de l’agriculture pourra dans un bref délai apporter une réponse aux requêtes du gouvernement haïtien. Au Palais municipal de Delmas, le Premier ministre a
animé «Gouvènman an lakay ou»
Mairie de Delmas
Après Carrefour, la commune de Delmas a accueilli le programme « Gouvènman an lakay ou », le samedi 12 Octobre 2103. Lors des échanges avec le Premierministre, S.E.M. Laurent Salvador Lamothe, les riverains en ont profité pour lui soumettre leurs doléances. Les pourparlers se sont déroulés autour des thèmes liés à l’éducation et à la formation professionnelle, aux
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