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Seul survivant sur les douze membre de l’équipage, Harrison Okene est resté trois jours dans cette poche d’air sans manger, ni boire (mis à part de l’eau de mer), totalement dans le noir, la peau ravagée par l’eau salée. « J’avais tellement faim, mais surtout très soif », a-t-il raconté après son sauvetage à l’agence Reuters.
Ramené sur la terre ferme, il dut passer soixante heures dans une chambre de décompression pour ramener son corps à une pression normale.
Les juges l’ont reconnu coupable d’avoir dans 1.467 cas violé l’intimité de ses patientes. Dans trois cas, il a également été reconnu coupable d’abus sexuel en outrepassant son rôle de thérapeute dans le conseil et la prise en charge de patientes.
De mai 2008 à août 2011, ce gynécologue a pris des dizaines de milliers de clichés de ses patientes notamment lorsqu’elles étaient allongées sur la table d’auscultation ou lorsqu’elles s’habillaient ou se déshabillaient dans la cabine prévue à cet effet.
Dans quelques cas, il avait également réalisé des séquences vidéo des vagins de ses patientes.
Le tribunal a jugé que le médecin avait profondément humilié ses patientes en les réduisant à des objets. Il a toutefois bénéficié du fait qu’il avait fait des aveux complets, entamé un travail psychothérapeutique et qu’il s’est excusé auprès de ses patientes.
L’affaire avait été révélée par deux de ses anciennes assistantes médicales qui avaient découvert des photos et prévenu la police.
La défense a annoncé son intention de faire appel, selon l’agence allemande dpa.
© Gawker.
Cet homme de 68 ans a été emprisonné avant même qu’il ait pu mettre en action son plan machiavélique. Et pour cause, puisque le maladroit a téléphoné par inadvertance à sa future victime, jeudi dernier. Celle-ci a eu la curiosité d’écouter cette conversation de 90 minutes entre son ancien patron et une tierce personne.
Après s’être rapidement rendu compte qu’il était la personne visée,
le miraculé a déclaré à la police avoir entendu Barnett déclarer, entre autres: « Je m’en fous que vous deviez incendier sa maison avec lui à l’intérieur. Vous devez simplement faire croire en un accident ».
La police de Paragould, où vit le plaignant, s’est rendue à son domicile
et a découvert qu’elle avait été cambriolée et que la cuisinière au gaz avait été trafiquée. Barnett a été arrêté et inculpé de complot et tentative de meurtre.
« Elle a tourné le dos à la scène, a sorti son téléphone portable et s’est prise en photo », dénonce le journaliste qui ajoute qu’elle n’a pas hésité à sourire pour la photo. « Lorsque on s’est approché d’elle, elle est devenue plus timide », poursuit-il en affirmant que la jeune femme a fui quand ils lui ont demandé son nom après l’avoir photographiée. Par chance, l’homme qui tentait de mettre fin à ses jours a finalement été sauvé par des policiers.
Le « selfie » est devenu tellement populaire qu’il a été élu mot de l’année par les dictionnaires d’Oxford. Même le Pape s’est prêté au jeu. Pas étonnant donc qu’on assiste désormais à de nombreux dérapages.
A l’inverse, celui qui, né à peu près au même moment, a involontairement pris sa place, a pu suivre un beau parcours scolaire jusqu’à l’université. Les trois jeunes frères de ce dernier ont cependant toujours douté de l’identité exacte de celui qui était censé être leur aîné, mais était si différent. Leurs soupçons ont été confirmés par des tests d’ADN en 2009. Ils ont ensuite vérifié les dossiers de la maternité et ont découvert l’identité de leur véritable plus grand frère en 2012. Les deux bébés étaient nés à 13 minutes d’écart.
L’une des explications à cette erreur réside dans le nombre très élevé de naissances dans cette période du début des années 1950 au Japon.