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« Les descendants d’esclaves sont meilleurs athlètes »

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Michael Johnson, au centre, avec l’équipe de relais championne olympique du 4×400 mètres aux JO de Sydney. 

Selon la légende de l’athlétisme Michael Johnson, la réussite d’un athlète est le résultat d’un entraînement intensif mais est aussi génétique. 

L’ancien médaillé olympique Michael Johnson, qui a détenu pendant douze ans le record du monde du 200 mètres, est convaincu que les meilleurs athlètes du monde obtiennent des résultats par l’addition du travail et des gênes de leurs ancêtres. « Toute ma vie, j’ai cru m’améliorer par ma seule abnégation. Mais il est pour moi impossible d’écarter le fait qu’être le descendant d’un esclave ait un impact majeur sur les générations suivantes », a déclaré l’un des plus grands athlètes de l’histoire au Dailymail.

« Même cela peut être difficile à entendre, l’esclavage a été bénéfique à des descendants comme moi. Je suis convaincu que nous avons un gêne supérieur d’aptitude sportive ». Pour appuyer sa théorie, celui que l’on surnommait la « Loco de Waco » prend en exemple le palmarès des dernières décennies. « Au cours des dernières années, les athlètes afro-amérciain et caribéen ont dominé les finales d’athlétisme. C’est un fait pourtant dont on ne discute pas. C’est un sujet tabou aux Etats-Unis, mais l’histoire est telle qu’elle est. Pourquoi ne pas en parler ouvertement? »

S’il a cédé en 2008 son record du 200 mètres à Usain Bolt, Michael Johnson reste l’homme le plus rapide sur 400 mètres qu’il a parcouru en 43, 18 secondes, en 1999.

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