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Du racisme des soit-disant « grands hommes »…

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Je vous propose ce topic afin de collecter les citations racistes de nos dits grands hommes.

J’ouvre le bal avec Voltaire:

Biography of Voltaire, French Enlightenment Writer

François-Marie Arouet (1694-1778)- (nom de plume : Voltaire)

Les juifs:

« Vous ne trouverez en eux qu’un peuple ignorant et barbare, qui joint depuis longtemps la plus sordide avarice à la plus détestable superstition, et à la plus invincible haine pour les peuples qui les tolèrent et qui les enrichissent. »
(Voltaire, « Dictionnaire Philosophique », tome V, au mot « JUIF ». Cité in « L’entrée des israélites dans la société française », abbé Lémann, ré-edition Avalon p.163)
« Cette petite nation juive ose étaler une haine irréconciliable contre toutes les nations : toujours superstitieuse, toujours avide du bien d’autrui, toujours barbare, rampante dans le malheur et insolente dans la prospérité. »
(Voltaire, « Essai sur les moeurs et l’esprit des nations », paragr. 42. Cité in id. p.164)

Les noirs:

« Les Blancs sont supérieurs à ces Nègres, comme les Nègres le sont aux singes, et comme les singes le sont aux huîtres. »
(Voltaire, in « Traité de Métaphysique ». Cité in « Le Choc du mois » n°25, p.31)

« Leurs yeux ronds, leur nez épaté, leurs lèvres toujours grosses, leurs oreilles différemment figurées, la laine de leur tête, la mesure même de leur intelligence, mettent entre eux et les autres espèces d’hommes des différences prodigieuses. Et ce qui démontre qu’ils doivent point cette différence à leur climat, c’est que des Nègres et des Négresses transportés dans les pays les plus froids y produisent toujours des animaux de leur espèce, et que les mulâtres ne sont qu’une race bâtarde d’un noir et d’une blanche, ou d’un blanc et d’une noire. »
(Voltaire, « Essai sur les moeurs ». Cité in id.)

 » Nous n’achetons des esclaves domestiques que chez les Nègres ; on nous reproche ce commerce. Un peuple qui trafique de ses enfants est encore plus condamnable que l’acheteur. Ce négoce démontre notre supériorité ; celui qui se donne un maître était né pour en avoir. » (Voltaire)

« La nature a subordonné à ce principe ces différents degrés et ces caractères des nations, qu’on voit si rarement se changer. C’est par là que les Nègres sont les esclaves des autres hommes. On les achète sur les côtes d’Afrique comme des bêtes. »
(Voltaire, « Essai sur les moeurs ». Cité in id.)

« La race des Nègres est une espèce d’hommes différente de la nôtre […] on peut dire que si leur intelligence n’est pas d’une autre espèce que notre entendement, elle est très inférieure. Ils ne sont pas capables d’une grande attention, ils combinent peu et ne paraissent faits ni pour les avantages, ni pour les abus de notre philosophie. Ils sont originaires de cette partie de l’Afrique comme les éléphants et les singes ; ils se croient nés en Guinée pour être vendus aux Blancs et pour les servir.  »
(Voltaire, « Essai sur les moeurs », Genève, 1755, t.XVI, p.269-270)
_________________
Le titre du bouquin de Bilé c’est « Noirs dans les camps Nazis » pas « Noirs Nazi »

source: c’est pas qui a collecté ces citations ;) Mais vu que l’auteur a cité les références alors ça pourrait etre verifiable!

David Hume Quotes – Ungroovygords

David Hume (1711-1776), économiste anglais influent écrivit à son époque (dans « Sur les caractères nationaux, Vol III ») :

« Je suspecte les Nègres et en général les autres espèces humaines d’être naturellement inférieurs à la race blanche. Il n’y a jamais eu de nation civilisée d’une autre couleur que la couleur blanche, ni d’individu illustre par ses actions ou par sa capacité de réflexion… Il n’y a chez eux ni engins manufacturés, ni art, ni science. Sans faire mention de nos colonies, il y a des Nègres esclaves dispersés à travers l’Europe, on n’a jamais découvert chez eux le moindre signe d’intelligence ».

The disease of Immanuel Kant - The Lancet

Kant

Immanuel Kant (1724-1804), d’ajouter (dans « Essai sur les maladies de la tête, Observation sur le sentiment du beau et du sublime, éd. Flammarion, 1990 ») :

« La nature n’’a doté le nègre d’’Afrique d’’aucun sentiment qui ne s’’élève au-dessus de la niaiserie(…) Les Noirs (…) sont si bavards qu’il faut les séparer et les disperser à coups de bâton ».

Le zoologiste, G. Cuvier d’écrire à son tour (dans « Recherches sur les ossements fossiles, Volume 1, Paris, Deterville, 1812) :

« La race nègre est confinée au midi de l’Atlas, son teint est noir, ses cheveux crépus, son crâne comprimé et son nez écrasé ; son museau saillant et ses grosses lèvres la rapprochent manifestement des singes: les peuplades qui la composent sont toujours restées barbares (…) la plus dégradée des races humaines, dont les formes s’approchent le plus de la brute, et dont l’intelligence ne s’est élevée nulle part au point d’arriver à un gouvernement régulier. »

Montesquieu

Puis Montesquieu (dans « L’esprit des Lois ») en 1748 :

« On ne peut se mettre dans l’idée que Dieu, qui est un être sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir. (…) Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous mêmes chrétiens. »

Puis sous la plume de Hegel (dans « La raison dans l’histoire, Paris, Plon, 1965 ») :

« Les Africains, en revanche, ne sont pas encore parvenus à cette reconnaissance de l’universel. Leur nature est le repliement en soi. Ce que nous appelons réligion, etat, réalité existant en soi et pour soi, valable absolument, tout cela n’existe pas encore pour eux. Les abondantes relations des missionnaires mettent ce fait hors de doute(…) Ce qui caractérise en effet les nègres, c’est précisément que leur conscience n’est pas parvenue à la contemplation d’une objectivité solide, comme par exemple Dieu, la loi, à laquelle puisse adhérer la volonté de l’homme, et par laquelle il puisse parvenir à l’intuition de sa propre essence » et de continuer en disant que l’Afrique est « un monde anhistorique non développé, entièrement prisonnier de l’esprit naturel et dont la place se trouve encore au seuil de l’histoire de l’univerel »

Puis on continue avec Ernest Renan (dans « le Discours sur la nation ») :

« La nature a fait une race d’ouvriers, c’est la race chinoise (…) une race de travailleurs de la terre, c’est le nègre (…) une race de maîtres et de soldats, c’est la race européenne. »

Karl Marx

Karl Marx (Son vrai nom ? ‘Hirschel  ha-Levi Marx’, … son père ? … Heinrich Marx , avocat et talmudiste. Il appartenait à la lignée du célèbre rabbin Elieser ha-Levi, de Mayence, dont le fils, Jehuda Minz, devint le chef spirituel de l’école talmudique de Padoue. Sa mère ? Henrietta Pressborck, fille de rabbin elle aussi !) …

Mais voici ce qu’il disait :

Considérons le véritable juif. Pas le juif du sabbat … mais le juif de tous les jours Quelle est la base du judaïsme profane ? La nécessité pratique, l’’intérêt personnel. Quel est le culte mondial du juif ? Le mercantilisme. Quel est son dieu mondial ? L’’argent.
…
L’’argent est le dieu jaloux d’’Israël auprès duquel aucun autre dieu ne peut exister. L’’argent avilit tous les dieux de l’’homme, les change en marchandises.  L’’argent, c’est l’’âme aliénée du travail de l’’homme et de son existence : cette âme le domine, il l’’idolâtre. Le dieu des juifs, laïcisé, est devenu le dieu du monde.
…
Le juif n’’a d’’autre destinée ici bas que de devenir plus riche que ses voisins.

(Cité par Paul Johnson, le grand mensonge des intellectuels)

Karl Marx :
“Je ne pense pas que les noirs aient une âme, tant il est vrai qu’ils ne peuvent être associés à aucune
structure appellée civilisation »

Pablo Picasso
« L’art nègre ? Connais pas. »

Jules Ferry ( homme d’etat francais) :

« Je vous défie de soutenir jusqu’au bout votre thèse qui repose sur l’égalité, la liberté, l’indépendance des
races inférieures. Messieurs, il faut parler plus haut et plus vrai ! Il faut dire ouvertement que les races
supérieures ont un droit vis à vis des races inférieures. » Jules Ferry (1832-1893 ; Débats parlementaires du
28 juillet 1885)

« En Afrique les filles foisonnent, mais elles sont toutes aussi malfaisantes et pourries que le liquide fangeux des puits sahariens » (Guy de Maupassant)

Edouard Balladur (1994 au cours d’une émission télévisée … quelques temps après le début des massacres au Rwanda) :

Nous avons un devoir moral envers ces peuples… C’EST NOUS QUI LEUR AVONS APPORTE LA CIVILISATION.

Charles Darwin (La descendance de l’’homme) :

C’est la sélection naturelle qui conduit insensiblement, par gradations successives, des races inférieures aux races supérieures.

Montesquieu,dans l’esprit des lois, établit l’hypothèse d’une corrélation inverse entre l’intelligence et la latitude.
Hypothèse aujourd’hui validée, établie à -0,67 dès lors que le climats froid a exercé une pression de sélection
plus importante pour une augmentation des capacités intellectuelles. (Race differences in intelligence, 2005,
Richard Lynn)

 

Théodore Roosevelt (1858-1919, Président des USA , lettre du 3/1/1913)

Je souhaiterais beaucoup que l’’on empêchât entièrement les gens de catégorie inférieure de se reproduire, et quand la nature malfaisante de ces gens est suffisamment manifeste, des mesures devraient être prises en ce sens. Les criminels devraient être stérilisés et il devrait être interdit aux personnes faibles d’esprit de laisser des rejetons après elles ….

« Abraham Lincoln
«Il existe entre les Noirs et les Blancs une différence physique qui, je le crois, empêchera toujours les deux
races de vivre en des termes d’égalité sociale et politique. Dans la mesure où elles ne peuvent pas vivre
ainsi, alors même qu’elles restent ensemble effectivement, l’une doit être supérieure à l’autre, et comme
n’importe qui d’autre je suis partisan d’attribuer cette position supérieure à la race blanche» (Abraham
Lincoln, 1858, dans Gould [88, p. 67]). « L’égalité 8, Systema materna, dans Gould [88, p. 67]).

Victor Hugo - 36 artworks - drawing

Victor Hugo

ps : c’est long, mais ça en vaut vraiment la lecture

Messieurs,

[…]

Quant à nous, puisque nous sommes de simples chercheurs du vrai, puisque nous sommes des songeurs, des écrivains, des philosophes attentifs; puisque nous sommes assemblés ici autour d’une pensée unique, l’amélioration de la race humaine; puisque nous sommes, en un mot, des hommes passionnément occupés de ce grand sujet, l’homme, profitons de notre rencontre, fixons nos yeux vers l’avenir; demandons-nous ce que fera le vingtième siècle. ( Mouvement d’attention. )

Politiquement, vous le pressentez, je n’ai pas besoin de vous le dire. Géographiquement,-permettez que je me borne à cette indication,-la destinée des hommes est au sud.

Le moment est venu de donner au vieux monde cet avertissement: il faut être un nouveau monde. Le moment est venu de faire remarquer à l’Europe qu’elle a à côté d’elle l’Afrique. Le moment est venu de dire aux quatre nations d’où sort l’histoire moderne, la Grèce, l’Italie, l’Espagne, la France, qu’elles sont toujours là, que leur mission s’est modifiée sans se transformer, qu’elles ont toujours la même situation responsable et souveraine au bord de la Méditerranée, et que, si on leur ajoute un cinquième peuple, celui qui a été entrevu par Virgile et qui s’est montré digne de ce grand regard, l’Angleterre, on a, à peu près, tout l’effort de l’antique genre humain vers le travail, qui est le progrès, et vers l’unité, qui est la vie.

La Méditerranée est un lac de civilisation; ce n’est certes pas pour rien que la Méditerranée a sur l’un de ses bords le vieil univers et sur l’autre l’univers ignoré, c’est-à-dire d’un côté toute la civilisation et de l’autre toute la barbarie.

Le moment est venu de dire à ce groupe illustre de nations: Unissez-vous! allez au sud.

Est-ce que vous ne voyez pas le barrage? Il est là, devant vous, ce bloc de sable et de cendre, ce monceau inerte et passif qui, depuis six mille ans, fait obstacle à la marche universelle, ce monstrueux Cham qui arrête Sem par son énormité,-l’Afrique.

Quelle terre que cette Afrique! L’Asie a son histoire, l’Amérique a son histoire, l’Australie elle-même a son histoire; l’Afrique n’a pas d’histoire. Une sorte de légende vaste et obscure l’enveloppe. Rome l’a touchée, pour la supprimer; et, quand elle s’est crue délivrée de l’Afrique, Rome a jeté sur cette morte immense une de ces épithètes qui ne se traduisent pas: Africa portentosa! ( Applaudissements. ) C’est plus et moins que le prodige. C’est ce qui est absolu dans l’horreur. Le flamboiement tropical, en effet, c’est l’Afrique. Il semble que voir l’Afrique, ce soit être aveuglé. Un excès de soleil est un excès de nuit.

Eh bien, cet effroi va disparaître.

Déjà les deux peuples colonisateurs, qui sont deux grands peuples libres, la France et l’Angleterre, ont saisi l’Afrique; la France la tient par l’ouest et par le nord; l’Angleterre la tient par l’est et par le midi. Voici que l’Italie accepte sa part de ce travail colossal. L’Amérique joint ses efforts aux nôtres; car l’unité des peuples se révèle en tout. L’Afrique importe à l’univers. Une telle suppression de mouvement et de circulation entrave la vie universelle, et la marche humaine ne peut s’accommoder plus longtemps d’un cinquième du globe paralysé.

De hardis pionniers se s’ont risqués, et, dès leurs premiers pas, ce sol étrange est apparu réel; ces paysages lunaires deviennent des paysages terrestres. La France est prête à y apporter une mer. Cette Afrique farouche n’a que deux aspects: peuplée, c’est la barbarie; déserte, c’est la sauvagerie; mais elle ne se dérobe plus; les lieux réputés inhabitables sont des climats possibles; on trouve partout des fleuves navigables; des forêts se dressent, de vastes branchages encombrent çà et là l’horizon; quelle sera l’attitude de la civilisation devant cette faune et cette flore inconnues? Des lacs sont aperçus, qui sait? peut-être cette mer Nagaïn dont parle la Bible. De gigantesques appareils hydrauliques sont préparés par la nature et attendent l’homme; on voit les points où germeront des villes; on devine les communications; des chaînes de montagnes se dessinent; des cols, des passages, des détroits sont praticables; cet univers, qui effrayait les romains, attire les français.

Remarquez avec quelle majesté les grandes choses s’accomplissent. Les obstacles existent; comme je l’ai dit déjà, ils font leur devoir, qui est de se laisser vaincre. Ce n’est pas sans difficulté.

Au nord, j’y insiste, un mouvement s’opère, le divide ut regnes exécute un colossal effort, les suprêmes phénomènes monarchiques se produisent. L’empire germanique unit contre ce qu’il suppose l’esprit moderne toutes ses forces; l’empire moscovite offre un tableau plus émouvant encore. A l’autorité sans borne résiste quelque chose qui n’a pas non plus de limite; au despotisme omnipotent qui livre des millions d’hommes à l’individu, qui crie: Je veux tout, je prends tout! j’ai tout!-le gouffre fait cette réponse terrible: Nihil . Et aujourd’hui nous assistons à la lutte épouvantable de ce Rien avec ce Tout. ( Sensation .)

Spectacle digne de méditation! le néant engendrant le chaos.

La question sociale n’a jamais été posée d’une façon si tragique, mais la fureur n’est pas une solution. Aussi espérons-nous que le vaste souffle du dix-neuvième siècle se fera sentir jusque dans ces régions lointaines, et substituera à la convulsion belliqueuse la conclusion pacifique.

Cependant, si le nord est inquiétant, le midi est rassurant. Au sud, un lien étroit s’accroît et se fortifie entre la France, l’Italie et l’Espagne. C’est au fond le même peuple, et la Grèce s’y rattache, car à l’origine latine se superpose l’origine grecque. Ces nations ont la Méditerranée, et l’Angleterre a trop besoin de la Méditerranée pour se séparer des quatre peuples qui en sont maîtres. Déjà les États-Unis du Sud s’esquissent ébauche évidente des États-Unis d’Europe. ( Bravos. ) Nulle haine, nulle violence, nulle colère. C’est la grande marche tranquille vers l’harmonie, la fraternité et la paix.

Aux faits populaires viennent s’ajouter les faits humains; la forme définitive s’entrevoit; le groupe gigantesque se devine; et, pour ne pas sortir des frontières que vous vous tracez à vous-mêmes, pour rester dans l’ordre des choses où il convient que je m’enferme, je me borne, et ce sera mon dernier mot, à constater ce détail, qui n’est qu’un détail, mais qui est immense: au dix-neuvième siècle, le blanc a fait du noir un homme; au vingtième siècle, l’Europe fera de l’Afrique un monde. ( Applaudissements. )

Refaire une Afrique nouvelle, rendre la vieille Afrique maniable à la civilisation, tel est le problème. L’Europe le résoudra.

Allez, Peuples! emparez-vous de cette terre. Prenez-la. A qui? à personne. Prenez cette terre à Dieu. Dieu donne la terre aux hommes, Dieu offre l’Afrique à l’Europe. Prenez-la. Où les rois apporteraient la guerre, apportez la concorde. Prenez-la, non pour le canon, mais pour la charrue; non pour le sabre, mais pour le commerce; non pour la bataille, mais pour l’industrie; non pour la conquête, mais pour la fraternité. ( Applaudissements prolongés .)

Versez votre trop-plein dans cette Afrique, et du même coup résolvez vos questions sociales, changez vos prolétaires en propriétaires. Allez, faites! faites des routes, faites des ports, faites des villes; croissez, cultivez, colonisez, multipliez; et que, sur cette terre, de plus en plus dégagée des prêtres et des princes, l’Esprit divin s’affirme par la paix et l’Esprit humain par la liberté!

Discours sur l’Afrique
le 18 mai 1879,

Victor Hugo


Ce discours, constamment couvert d’applaudissements enthousiastes, a été suivi d’une explosion de cris de: Vive Victor Hugo! vive la république!

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