– Ne m’en parle pas. Figure-toi que j’étais invité à un dîner. Et voilà qu’au dessert, le bouton qui fermait mon pantalon saute.
Comme je n’avais pas de ceinture, tu vois le souci… Alors discrètement je demande à la maîtresse de maison où je pourrais trouver du fil et une aiguille en lui expliquant mon problème. Elle me dit qu’elle va m’arranger ça, m’emmène dans sa chambre, sort sa boîte à couture et me dit que ce n’est pas la peine d’ôter mon pantalon. Elle recoud le bouton en deux minutes, fait un nœud, et elle se penche pour couper le fil avec ses dents… Manque de pot, c’est à ce moment là que son mari est entré dans la chambre !
A la porte du Ciel, un type furieux se présente devant St Pierre.
– Mais bon sang, qu’est-ce que je fais là ! Hurle t-il. Regardez-moi : J’ai 35 ans, je suis en pleine forme, je ne bois pas, je ne fume pas, hier soir je me couche bien sagement dans mon lit et voilà que je me retrouve au ciel ! C’est certainement une erreur
– Eh bien ! Cela n’est jamais arrivé, mais enfin je vais vérifier, répond St Pierre, un peu troublé.
– Comment vous appelez-vous ?
– Dugommeau. Norbert Dugommeau.
– Oui… Et quel est votre métier ?
– Mecanicien.
– Oui… Ah, voilà, j’ai votre fiche. Dugommeau Norbert, mecanicien…Eh bien, monsieur Dugommeau, vous êtes mort de vieillesse, c’est tout .
– De vieillesse ? Mais enfin ce n’est pas possible, je n’ai que 35 ans…..
– Ah moi je ne sais pas, monsieur Dugommeau. Mais on a fait le compte de toutes les heures de main d’oeuvre que vous avez facturées, et ça donne 123 ans.
La hiérarchie d’une entreprise, c’est comme un arbres plein de singes…
Il y a des singes à différentes hauteurs.
Des singes qui montent et des singes qui descendent…
Les singes qui sont en haut regardent en bas et voient des singes qui sourient…
Les singes qui sont en bas regardent en haut et voient des trous de cul…
Un curé ayant une envie très pressante rentre dans un bar pour la satisfaire. Au moment où il rentre dans le bar, le brouhaha et la musique ambiante disparaissent pour laisser la place à un silence très lourd.
Le curé s’avance vers le barman et demande :
– Pourrai-je utiliser vos toilettes ?
Le barman lui répond :
– C’est que… je ne sais pas si c’est un endroit pour vous!
Mais le curé insiste :
– Je vous en prie, il s’agit d’une envie pressante. Ne me laissez pas dans le besoin.
Alors le barman :
– C’est que Monsieur le curé, nous avons dans les toilettes de ce bar la statue d’une femme qui, mis à part une feuille de vigne, est complètement nue, et je ne voudrais pas que vous soyez gêné par cela.
Le curé lui dit alors en se dirigeant vers la porte des toilettes :
– Ne craignez rien. Je suis tout à fait capable de supporter la vue de ce genre d’objet païen.
Au bout de quelques minutes, le curé est de retour dans le bar, mais cette fois-ci, la musique bat son plein et le brouhaha montre que tout le monde discute de bon cœur.
En s’approchant du barman, le curé demande:
– Je ne comprends pas très bien… Tout à l’heure quand je suis rentré, il n’y avait pas de musique, personne ne parlait, et maintenant, c’est tout le contraire.
Le barman répond :
– C’est que maintenant on sait que vous êtes des nôtres. Et d’ailleurs, pour fêter ça, je vous offre un coup à boire!
– Et pourquoi me considérez-vous comme “un des vôtres” ? Parce que j’ai utilisé les toilettes du bar ?
Alors le barman lui répond avec un grand sourire :
– Non, pas tout à fait. Il faut vous expliquer que à chaque fois que quelqu’un va aux toilettes et soulève la feuille de vigne, alors toutes les lumières s’éteignent et se rallument dans le bar… Alors vous le prenez ce verre ?
Deux amis discutent le lundi matin :
– T’en fais une tête !
– M’en parle pas ! Ma femme veut divorcer
– Qu’est-ce que tu lui as fait ?
– Mais rien, j’y comprends rien !
Figure-toi qu’hier soir, je sors du café du village, pour une fois pas trop tard, je file chez moi. En arrivant, ma femme m’accueille, habillée seulement de sous-vêtements très sexy et elle tenait deux petites cordes en velours…
Elle me dit : « Attache-moi, et tu pourras faire tout ce que tu veux après… »
… Donc, je l’ai attachée… Et je suis retourné prendre une bière avec mes potes…
La dictée qui rend fou
Monsieur Lamère a épousé Mademoiselle Lepère. De ce mariage, est né un fils aux yeux pers*. (*pers = entre vert et bleu). Monsieur est le père, Madame est la mère. Les deux font la paire. Le père, quoique père, est resté Lamère, mais la mère, avant d’être Lamère était Lepère.
Le père est donc le père sans être Lepère, puisqu’il est Lamère et la mère est Lamère, bien que née Lepère. Aucun des deux n’est maire. N’étant ni le maire ni la mère, le père ne commet donc pas d’impair en signant Lamère.
Le fils aux yeux pers de Lepère deviendra maire. Il sera le maire Lamère, aux yeux pers, fils de Monsieur Lamère, son père, et de Mademoiselle Lepère, sa mère.
La mère du maire meurt et Lamère, père du maire, la perd. Aux obsèques, le père de la mère du maire, le grand-père Lepère, vient du bord de mer et marche de pair avec le maire Lamère, son petit-fils. Les amis du maire, venus pour la mère, cherchent les Lamère, ne trouvent que le maire et Lepère, père de la mère du maire, venu de la mer, et chacun s’y perd !
Le curé n’a pas d’enfant de chœur pour l’aider, mais il possède un perroquet savant qu’il a dressé pour lui donner un coup de main lors de la messe .
Il le met sur un perchoir, à côté de l’autel, et le volatile place les fidèles : « Les hommes à gauche, les femmes à droite, les hommes à gauche, les femmes à droite,… »
V’la-t-y pas qu’un jour, not’curé surprend son perroquet en train de faire son affaire à une poule, dans le fond du jardin.
– Créature de Satan !… Je vais t’apprendre à bien te conduire, moi !
Et pour punir l’oiseau, il lui rase la belle houppette de plumes rouges qu’il avait sur le crâne, et qui faisait sa fierté !
Honteux, qu’il est le perroquet !
Et à la messe suivante, le perchoir planqué dans un coin sombre à côté de l’harmonium, il officie, tout penaud : « Les hommes à gauche, les femmes à droite, les hommes à gauche, les femmes à droite,… »
C’est alors qu’entrent deux chauves…
Alors le perroquet, soudain ragaillardi : « Et les deux baiseurs de poule, avec moi près de l’harmonium ! »
Un professeur d’anatomie interroge à un examen une future jeune élève infirmière :
– Quelle est la partie du corps qui se dilate jusqu’à atteindre 7 fois sa taille initiale
La jeune femme commence à rougir et à balbutier de manière inintelligible.
Le professeur lui dit alors:
– Je vous interromps tout de suite, Mademoiselle. Je crois que vous faites fausse route… Il s’agit de la pupille !
Et d’ailleurs, je crois que vous allez au devant de grandes désillusions !
Deux hommes sont partis à la chasse dans les Pyrénées.
Soudain, un ours d’au moins deux cents kilos surgit de derrière un rocher et commence à les poursuivre dans les chemins rocailleux. Finalement, les deux hommes se réfugient dans un arbre.
L’ours n’en démord pas et commence à grimper lui aussi.
L’un des deux compagnons ouvre son sac à dos, sort ses chaussures de sport et les chaussent.
Il se débrouille juste après pour ôter son pantalon de toile et enfiler un short.
L’autre lui demande:
– Mais qu’est-ce que tu fais ?
Il répond:
– Lorsque l’ours sera à trois mètres, on saute de l’arbre et on court.
Le compagnon demande alors:
– Tu crois vraiment que tu peux battre un ours à la course ?
Alors le premier répond:
– C’est pas l’ours que je veux battre à la course, c’est toi !
Un type se tient debout sur le bord de la route au milieu d’une très sombre nuit en faisant du stop. En même temps une terrible tempête se déchaîne. Quelque temps plus tard personne ne s’est arrêté. La tempête et l’orage sont si forts qu’il est impossible de voir plus loin que 3 mètres devant soi. Tout à coup il voit une voiture qui s’approche lentement et qui s’arrête.
Le gars sans se poser de questions monte dans la voiture et ferme la porte, lorsqu’il se retourne il se rend compte qu’il n’y a personne à la place du conducteur.
La voiture démarre doucement, il voit que sur la route il y a un virage en approche, effrayé, il commence à prier. Le gars n’a pas fini d’êtr étonné lorsque juste avant d’arriver sur le virage, la porte du conducteur s’entre-ouvre et une main entre pour faire tourner le volant dans le virage.
Paralisé par sa peur il s’accroche avec toutes ses forces à son siège. Il reste immobile et voit que la même chose arrive à chaque fois qu’il y a un virage sur la route.
La tempête augmente en force, et le gars qui a sorti des forces de là où il n’en reste pas, descend de la voiture et part en courant jusqu’au village le plus proche, entre dans le bar, demande deux tequilas doubles et en tremblant commence à raconter à tous ce qui lui est arrivé. Environ une demi-heure plus tard arrivent deux gars complètement trempés, l’air extenués et l’un dit à l’autre :
– Regarde là-bas, c’est le connard qui est monté dans la voiture pendant qu’on la poussait !
C’est un gars qui va se marier, il va se confesser quelques heures avant la cérémonie.
Lorsque le curé a terminé, il lui demande:
– Quelle pénitence m’ordonnez-vous, mon père ?
– Aucune, mon fils vous allez vous marier, c’est déja bien suffisant comme ca !..
C’est un couple très amoureux, et dont la femme est assez portée sur la chose. Le mari doit partir en voyage d’affaires pour plusieurs semaines.
Connaissant sa femme, il se dit qu’il faut qu’il lui trouve un godemichet vraiment spécial pour qu’elle n’aille pas se chercher un mec pendant qu’il est parti.
Donc, il se rend au sex-shop du coin. Il expose son problème au type qui tient le sex-shop. Le type est un peu emmerdé. « J’ai bien un engin spécial, mais vraiment j’ose pas vous le montrer. Il s’appelle le ‘Voodoo Dick' ». Le type insiste: « Allez, faites-voir ». Alors le type sort de dessous le comptoir une superbe boite en bois précieux avec des gravures superbes. Il ouvre la boite, et l’intérieur, y a un gode qui ressemble à n’importe quel autre gode.
Le mari est déçu évidemment:
– Mais il n’a rien de spécial votre truc! » qu’il dit.
– Ah si, attention, ce gode, il est spécial. Il fait tout ce qu’on lui dit de faire. Et hop démonstration:
– Voodoo Dick, la serrure ».
Et Voodoo Dick se précipite sur la serrure et se met à l’oeuvre frénétiquement.
Pour l’arrêter, il suffit de lui dire: ‘Voodoo Dick la boite’. Et hop Voodoo Dick retourne sagement dans sa boite. »
Le mari est bouche bée.
– Je le prends! il dit.
Il rentre chez lui et explique à sa femme le fonctionnement de ce jouet, et qu’elle peut l’utiliser quand elle est en manque d’affection.
Le lendemain le mari s’en va. Une semaine passe, la femme n’a pas envie de forniquer. Puis enfin durant la semaine suivante, elle commence à penser de plus en plus au sexe. Alors elle se souvient du cadeau de son mari et va le chercher.
Elle se déshabille se met au lit, ouvre la boite et dit :
– Voodoo Dick, ma chatte!.
Tac, l’engin se précipite dans le vagin de la dame et s’agite, s’agite. La femme commence à prendre son pied, a un orgasme, deux orgasmes, mais Voodoo Dick ne fatigue pas et continue de s’agiter dans le trou. La femme commence à fatiguer, essaie de retirer Voodoo Dick mais y a rien à faire. Elle ne sait pas quoi et a un nouvel orgasme. Elle commence à paniquer.
– Y a plus qu’une chose à faire, aller à l’hôpital. se dit-elle.
Donc elle se rhabille, aussi bien qu’elle peut. Prend sa voiture, a du mal à conduire quand elle sent un nouvel orgasme se pointer, sa conduite est un peu erratique…
Un flic repère alors cette conductrice qui semble avoir trop bu et l’arrête.
La femme lui explique:
– J’ai une Voodoo Dick coincé dans ma chatte et j’arrive pas à la retirer.
Le flic :
– Mais qu’est ce que c’est que cette connerie?
– Si, si c’est vrai, c’est une Voodoo Dick dans ma chatte.
Alors le flic dit :
– Voodoo Dick, mon cul !