Des couples nus sautent dans le vide à la Saint-Valentin
© capture d’écran.VIDÉO
Malgré les températures glaciales lettones, des couples ont décidé de laisser parler la folie le jour de la Saint-Valentin. Ils ont sauté à moitié nus au-dessus de la rivière gelée Gauja. Ils ne portaient qu’une culotte, un harnais blanc laineux, des mitaines et des bottes assorties.
Tels des Cupidons des temps modernes, ils ont été « propulsés au 7e ciel », en couple. Bungee LV, l’organisateur de l’événement, a signalé que les volontaires à cette expérience étaient si nombreux qu’ils ont dû en sélectionner seulement une partie par tirage au sort.
« Ce n’est que la preuve du fait que les gens aspirent à des activités extraordinaires et folles pour sortir de la routine », explique l’organisateur.
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Huit voitures avalées par un trou géant aux Etats-Unis
© reuters.
Un grand trou (sinkhole en anglais) s’est ouvert mercredi dans le sol d’un hall d’exposition du Musée National Corvette, dans le Kentucky (centre-est des Etats-Unis), dans lequel sont tombées huit voitures de collection, un spectacle désolant pour les amateurs de belles carrosseries.
Ce trou béant, d’environ 12 mètres de circonférence et de 8 à 9 mètres de profondeur, a été découvert quand une alarme s’est déclenchée au petit matin. Les pompiers ont rapidement sécurisé les lieux et les responsables du musée tentaient de repêcher les huit Corvette tombées en contrebas.
Deux d’entre elles étaient prêtées au musée par General Motors, qui construit ces voitures de sport emblématiques depuis plus de 60 ans. Parmi les voitures de collection endommagées, une Corvette de 1962, la millionième Corvette sortie des usines en 1992 ou une Corvette de 1993 célébrant le 40e anniversaire de la marque.
Le musée est situé dans la ville de Bowling Green, la seule où sont construites ces voitures de légende. Aucune explication n’a été donnée dans l’immédiat sur les causes de l’apparition de ce trou béant.
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Plaquée après avoir donné un rein: « Je veux qu’il me le rende »
© Capture d’écran.
Samantha Lamb ne décolère pas. Quittée par son mari après lui avoir sauvé la vie en lui donnant un rein, elle souhaite aujourd’hui récupérer son organe.
C’est en octobre 2009 que cette Britannique aujourd’hui âgée de 41 ans avait donné un de ses reins à son mari, Andy, qui souffrait d’une insuffisance rénale et ne survivait que grâce aux dialyses. « Il avait besoin d’un nouveau rein ou il allait mourir », confie-t-elle au Sunday People.
À l’époque le couple filait le parfait amour. Samantha avait également dû perdre beaucoup de poids pour cette intervention. Mais cela ne l’avait pas arrêtée. Leur histoire avait d’ailleurs fait l’objet d’un reportage poignant sur la chaîne britannique BBC.
Mais le conte de fée a rapidement pris fin. Trois ans après l’opération, Andy a quitté la maison en pleine nuit sans explications, alors que sa femme était en train de travailler, emportant avec lui la télévision et le matériel audio.
Selon Samantha Lamb, celui-ci avait une liaison avec l’une de ses amies. Ce que dément catégoriquement Andy. « Je l’aimais mais notre relation ne fonctionnait pas », confie-t-il affirmant au passage que c’est sa femme qui a insisté pour lui donner son rein. « Je ne voulais pas, c’était un gros risque. Mais elle a insisté et je n’oublierai jamais que je lui dois la vie ».
De son côté Samantha ne cache pas sa rancoeur. »Si c’était à refaire, ce n’est pas à lui que je donnerais mon rein mais à une personne qui en est plus digne », lance-t-elle. « Je le hais. Je voudrais le reprendre et le donner à quelqu’un d’autre ».
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Pas de consultation sans tuteur pour les Saoudiennes
La Mecque, 9 décembre 2013 © ap.
Un membre de la plus haute autorité religieuse en Arabie saoudite a défendu, dans un journal jeudi, une fatwa interdisant à une femme de se faire ausculter par un médecin en l’absence d’un tuteur. Sa déclaration intervient après la récente mort à Ryad d’une étudiante des suites d’un malaise cardiaque dans sa faculté où un ambulancier s’est vu interdire l’accès en l’absence d’un tuteur de la fille.
« Les femmes font désormais preuve de négligence en consultant des médecins sans la présence d’un Mahram (gardien légal), et cela est interdit par la religion », a annoncé cheikh Qays al-Moubarak , membre du Conseil des grands oulémas d’Arabie, cité par le quotidien Al-Hayat. Une visite médicale pourrait amener « une femme à montrer des parties de son corps à un médecin. Cela n’est pas permis (…) sauf en cas d’urgence », a-t-il encore dit.
« (Les femmes) ne doivent se faire soigner par un médecin qu’en l’absence d’une femme-médecin. Si cela se produit, elles ne doivent pas être seules et le médecin ne doit regarder que la partie du corps concernée » par la maladie, a-t-il insisté.
En 2002, 15 jeunes filles avaient péri dans un incendie qui s’était déclaré dans leur école à La Mecque lorsque la police religieuse avait interdit leur évacuation sous prétexte qu’elles n’étaient pas vêtues de façon conforme au code vestimentaire islamique.
L’Arabie saoudite, royaume ultra-conservateur régi par une stricte application de la loi islamique, impose de strictes restrictions aux femmes qui ont besoin d’un tuteur pour travailler, voyager ou même se marier. C’est aussi le seul pays au monde où les femmes n’ont pas le droit de conduire.
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Toutankhamon aurait été embaumé avec le pénis en érection
Réplique de la momie de Toutankhamon. © reuters.
Le pharaon Toutankhamon aurait été embaumé avec le pénis en érection, son sexe redressé à 90 degrés à l’aide de bandelettes, selon un étude récemment publiée.
L’égyptologue Salima Ikram, professeur à l’Université Américaine du Caire, explique cette particularité par une volonté de rapprocher Toutankhamon du dieu Osiris, afin de contrer la tentative d’Akhenathon, père du jeune roi, d’instaurer le culte d’Aton, religion monothéiste.
Aussi étonnant que cela puisse paraître, le pénis a une signification religieuse dans l’Egypte antique. Dans la mythologie, Osiris fut tué et découpé en treize morceaux. Toutes les parties de son corps ont été retrouvées par son épouse Isis… sauf son sexe.
Quant au pénis mommifié du jeune Toutankhamon, il s’est détaché après que la momie a été découverte. On soupçonne qu’il ait été volé.
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Elle vendait de l’héroïne avec les menus enfants du McDo
© photo news.
Une employée d’un restaurant McDonalds de Pittsburgh aux Etats-Unis a été arrêtée après avoir été surprise en train de vendre de l’héroïne avec les menus enfants.
C’est dans les Happy Meals, ces boîtes pour enfants contenant un jouet, que la jeune femme dissimulait la marchandise qu’elle vendait aux clients. Pour commander l’héroïne, les acheteurs n’avaient qu’à se présenter au drive-in du fast food et dire le code: « Je voudrais acheter un jouet ».
Un agent infiltré est rapidement remonté à elle et la jeune femme a été prise en flagrant délit. Dix sachets contenant de l’héroïne ont été retrouvés dans un menu Happy Meal tandis que 50 autres ont été découverts dans le sac de la suspecte, qui continue malgré tout à nier les faits.
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La Maison Blanche agacée par les journalistes français
© Twitter@ThomasWieder.
Si les journalistes ont la chance de côtoyer de près les grands de ce monde, ils n’en sont pas moins des hommes désireux de garder un souvenir de leur passage dans des lieux historiques. Au mépris de la bienséance et du savoir-vivre.
Les journalistes français accrédités pour pénétrer dans la Maison Blanche
et couvrir la visite d’Etat de François Hollande à Washington ont pris quelques libertés avec le protocole et se sont montrés trop enthousiastes dans le Bureau Ovale ou dans la briefing room. Un comportement inapproprié réprouvé par le service de sécurité américain obligé de les rappeler à l’ordre à de multiples reprises.
Pourtant, les journalistes français avaient été invités à rester calme une fois entrés dans le Bureau Ovale, consigne qu’ils ont eu du mal à respecter.
« Cela ne se fait pas », ont déclaré les conseillers de Barack Obama
à Laurence Haim, correspondante permanente pour iTélé à Washington. Les journalistes américains ont même ironisé sur l’attitude puérile de leur confrères.
Peut-être que les journalistes français auraient dû suivre l’exemple des diplomates français, interdits de téléphone portable dans l’aile-ouest de la Maison Blanche, comme l’atteste une photo Instagram de Pete Souza, le photographe officiel de la Maison Blanche. « No Blackberrys or smartphones allowed in the meeting ».
Qui sait si, lors d’une prochaine visite d’Etat, la Maison Blanche n’interdira pas, purement et simplement, le smartphone dans l’ensemble de la propriété. Il n’empêche, on peut excuser cette volonté de capter un tel souvenir. On s’en souvient, Barack Obama en personne s’était lui aussi prêté au jeu du « selfie » à une occasion nettement moins réjouissante (la cérémonie d’hommage à Nelson Mandela). Une fantaisie abondamment commentée à l’époque.
On s’en souvient, le selfie de Barack Obama, David Cameron et Helle Thorning-Schmid lors de l’hommage à Nelson Mandela avait fait le tour du web. © ap.
Il tue son fils à coup de batte de base-ball et de couteau
Luke Batty
Une petite bourgade du sud-est de l’Australie était sous le choc jeudi, après le meurtre d’un enfant de onze ans, tué par son père à coup de batte de base-ball et de couteau à la fin d’un entraînement de cricket, sous les yeux horrifiés de ses camarades de jeu.
Luke Batty a été frappé violemment à la tête et poignardé à plusieurs reprises mercredi soir après un entraînement de cricket au stade de Tyabb, sur la péninsule Mornington, à une centaine de km au sud de Melbourne. Il est mort sur place.
La police a indiqué avoir tenté d’interpeller le père, 54 ans, qui était alors armé d’un couteau. Après avoir essayé de l’immobiliser avec des gaz, en vain, la police a tiré et l’a abattu. Il a été transporté à l’hôpital où il est décédé jeudi matin.
Divorce?
Selon la presse australienne, l’homme était en train de se séparer de sa femme et était en conflit sur la garde de l’enfant. Le père était connu pour des faits de violence.
La police a précisé que les violences se sont déroulées en présence d’enfants et de parents, qui n’ont pas eu le temps d’intervenir. Elle a refusé de donner des détails supplémentaires.
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